La playlist de l'émission
Auteur | Titre | |
---|---|---|
1 | The Knack | The Hard Way (The Kinks cover) |
2 | Archie Bronson Outfit | Magnetic Warrior |
3 | Subtonix | Berlin In 1930 |
4 | The Selecter | On My Radio |
5 | Bettina Koester | Helter Skelter (The Beatles cover) |
6 | Autonervous | Gold |
7 | Jessie Evans | Let Me On |
8 | Jessie Evans | Is It Fire ? |
9 | Morphine | Buena |
10 | Morphine | All Wrong |
11 | Angus And Julia Stone | For You |
Écoutez l’évolution de Jessie Evans par Cassavetti
Présentation de Jessie Evans
« Fan du groupe ska anglais The Selecter et The Specials, elle apprend seule le saxophone et rejoint, à San Francisco, le groupe féminin Subtonix, puis The Vanishing. Elle s’essaie ensuite au chant et monte le duo synthétique Autonervous avec Bettina Köster du groupe allemand Malaria.
Pour son premier album solo Is it Fire ? qui a été salué en France par Télérama, elle a collaboré avec le batteur Budgie des groupes Siouxsie and the Banshees et The Creatures. En tournée, elle chante avec l’ancien batteur d’Iggy Pop, Toby Dammit. »
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jessie_Evans
Et la chronique de Cassavetti dans Télérama sur l’album « Is It Fire ? »
« Jessie Evans, ex-punkette californienne installée depuis quelques années à Berlin, n’en finit pas de brûler les planches (encore tout récemment aux Transmusicales de Rennes) avec son show performance néo no-wave d’une tonicité rare. Armée de son saxophone et de bandes enregistrées, accompagnée seulement d’un batteur (Toby Dammit, remarqué derrière Iggy Pop à la fin des 90’s), elle sait occuper l’espace comme peu. On pouvait s’inquiéter que le charme s’arrête à la porte du studio, heureusement, il n’en est rien. Sur son premier album en solo, Jessie Evans tire même le maximum de sa formule à priorité limitée. Car, malgré le soutien de quelques guests, dont Budgie aux percussions (Creatures, Siouxsie) ou Martin Wenk (Calexico) à la trompette, c’est surtout la qualité de ses chansons, en anglais ou en espagnol, qui fait mouche. Après, un groove dance, entre afrobeat et inspiration exotique, un sax forcément présent aux sonorités très 80’s (Romeo Void ?) et une voix chaude et sensuelle, reflet d’un sacré tempérament, suffisent pour faire l’affaire. Dès les premières mesures sautillantes d’Is it fire ?, on ne peut résister à l’envie de se contorsionner dans tous les sens, en regrettant de ne pas posséder l’élasticité et la souplesse de l’étonnante miss Evans. Autant dire une figure à suivre en 2010. »
Source : Télérama n°3129, du 2 janvier 2010
One Reply to “Jeudi 18 Février 2010 : Bernard Lenoir, Hugo Cassavetti (Jessie Evans)”
Je ne connaissais pas le triste destin du chanteur de Morphine.