Lundi 6 Décembre 2004 : Bernard Lenoir, Black Session 219, The Cure

  Sessions

La playlist de l'émission

AuteurTitre
1The CureJust Like Heaven
2The CurePlainsong (Black Session 219, 06/12/2004)
3The CureHigh (Black Session 219, 06/12/2004)
4The CureA Night Like This (Black Session 219, 06/12/2004)
5The CureThe End Of The World (Black Session 219, 06/12/2004)
6The CureCharlotte Sometimes (Black Session 219, 06/12/2004)
7The CureLovesong (Black Session 219, 06/12/2004)
8The CureTaking Off (Black Session 219, 06/12/2004)
9The CurePrimary (Black Session 219, 06/12/2004)
10The CureJupiter Crash (Black Session 219, 06/12/2004)
11The CureClosedown (Black Session 219, 06/12/2004)
12The CureBefore 3 (Black Session 219, 06/12/2004)
13The CureFrom The Edge Of The Deep Green Sea (Black Session 219, 06/12/2004)
14The CureA Strange Day (Black Session 219, 06/12/2004)
15The CureDisintegration (Black Session 219, 06/12/2004)
16The CureIf Only Tonight We Could Sleep (Black Session 219, 06/12/2004)
17The CureThe Kiss (Black Session 219, 06/12/2004)
18The Divine ComedySomething For The Weekend
19The Temporary ThingJean-Paul Belmondo
20Julien BaerEn Boucle
21Rufus WainwrightOh What A World
22The Wedding PresentInterstate 5


Ecoutez C’est Lenoir du 6 décembre 2004

Emission à écouter sur le site de Radio France : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/c-est-lenoir/the-cure-06-12-2004-9401307
Session enregistrée le 15 octobre 2004. Le titre Alt.End (entre Strange Day et Disintegration) n’a pas été diffusé ce soir mais lors d’une autre émission, tout comme “Us Or Them”.
« Que d’émotions mes amis ! Le groupe le plus populaire et peut-être aussi le plus influent de ces 20 dernières années enfin dans nos murs… Un vieux rêve qui se concrétise ! Le paradis quoi… Just Like Heaven justement, petit clin d’œil au passé télévisuel et à cette course poursuite, ce long chassé-croisé qui s’est enfin conclu par la black session que vous savez le 15 octobre dernier, un vendredi c’est vrai. Day off pour nous hélas, c’est la seule petite fausse note de cette rencontre, les black sessions ayant toujours lieu vous le savez en direct du studio 105 de la Maison de la Radio. Alors la magie du direct va peut-être en pâtir un peu mais il était hors de question de relancer la série de ces rendez-vous manqués en repoussant une fois de plus vers un avenir hypothétique, très hypothétique même avec Robert Smith, de cet instant très attendu. Alors pour la petite histoire, sachez que c’est par des mails enthousiastes du fan club de Cure en effervescence qu’on a appris, avant même de le savoir officiellement, que le groupe serait à paris pour nous à la mi-octobre. Et voilà, à peine le temps d’organiser l’affaire et on se retrouvait avec un Robert Smith souriant, calme et détendu, apparemment ravi de quitter momentanément l’ambiance surchauffée des arènes surpeuplées où il se produit d’habitude pour l’atmosphère nettement plus intime de notre studio (ceux qui le connaissent savent de quoi je parle) où il allait pouvoir jouer comme ça à quelques mètres des auditeurs de France Inter venus nous rejoindre ce jour-là, et la plupart d’ailleurs, et la plupart d’entre eux étaient encore dehors, dans la rue, freinés par un contrôle un peu trop strict peut-être ce jour-là, mais bon c’était Cure. Lorsque le groupe est entré sur scène à 18h30 précises, parce que Robert Smith était fortement décidé à ne pas rater le train qui devait le ramener le soir même à Londres, petite période de flottement comme ça à la vue du d’une salle encore à moitié vide quand il est rentré sur scène. Et le voilà qui grimpe et qui profite de la longue intro de Plainsong pour aller jusqu’en haut des marches voir un peu ce qui se passait et activer les choses. Et ceux qui sont arrivés à cet instant, je crois, n’en reviennent toujours pas d’avoir croisé leur idole à cet endroit. Voilà, je vous laisse en bonne compagnie pendant près d’une heure et demie, The Cure en Black Session sur France Inter. »
« « Lever les yeux vers les étoiles, admirer le miracle de la vie et ne rien en attendre de plus », voilà qui résume joliment la pensée de l’intello longtemps torturé, peut-être encore d’ailleurs, qu’on vient d’écouter. If Only Tonight et une version magistrale de The Kiss pour conclure cette black session exceptionnelle qui aurait pu durer bien plus longtemps s’il n’y avait eu ce train à prendre. Robert Smith qui prendra quand même un peu de temps pour signer quelques autographes et échanger quelques propos, toujours aussi gentil, aussi tranquille, avec les gens qui étaient là, avant de filer vers la voiture qui l’attendait pour le conduire directement à la gare. Backstage, on se souviendra longtemps du leader de Cure avec ce look volontairement ridicule qu’on lui connaît, traversant l’armée un peu guindée des musiciens classiques du Grand Orchestre de Radio France qui s’apprêtaient à rentrer en tenue de soirée dans le studio voisin. Voilà, grand moment qu’on n’a pas pu immortaliser… C’est dommage qu’il n’y ait pas de photographes. Sachez que si ça vous a plu, vous pouvez réécouter ce concert sur le net jusqu’à demain soir 21h car à ce moment-là on enchaînera sur une autre black session avec les irlandais de The Thrills. »

les titres en vidéo

Songs Of A Lost World :: The new album
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Music video by The Cure performing Just Like Heaven. (C) 1987 Fiction Records Ltd.

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